Devant ces amas de plantes séchées, fanées, anéanties par l'hiver, la solution du "broyas" séduit de plus en plus le jardinier. Les tiges seraient réduites en paillis qui rejoindrait les massifs et ainsi, tout retourne à la terre... oui mais voilà... l'acquisition d'un broyeur nécessite un investissement considérable, la bête est encombrante, elle fait du bruit.... et le paillis ainsi obtenu n'est guère esthétique (surtout en montagne où les touffes de vivaces se réveillent bien tard....)
Traîne Buisson se résigna donc et opta pour l'ancestrale technique de l'"abattis-brûlis"...
A bas l'hiver !
A bas l'hiver !
Le bon tas de cendres, riche en potasse, servira de goûter à la table des plus gourmandes...
7 commentaires:
Pourquoi ne pas composter toutes ces vivaces séchées? En 2 ans, sans rien faire, vous aurez un compost grossier mais très apprécié des plantes.
Quel superbe feu de joie !!!
Il faut brûler vite car dans nos régions les feux seront interdits bientôt ! Je comprends tout à fait les réticences à utiliser un broyeur bruyant.... Nous aussi nous brûlons ! A bientôt.
Tiens, je n'avais jamais songé à composter du sec, me contentant d'apporter sur le tas les déchets végétaux frais, épluchures de légumes, etc. J'essaierai dès l'automne prochain !
L'idéal est d'alterner sec et frais mais au total, tout est bon (sauf,bien sûr,les mauvaises graines!).
Je brûle très peu, préférant composter.
Mais la première belle journée voit toujours LE feu nettoyeur. Branchettes tombées durant l'hiver, longues branches griffues des rosiers sans gêne et immolation du sapin de Noël tout déplumé après un long séjour dans la maison.
Moi je préfère l'incinérateur composteur et déchèterie.
Chacun sa tactique.
Le principal il faut l'entreprendre d'une manière ecolo.
m-pierre
le jardin Boultois.
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