vendredi 2 octobre 2009

QUESTION EXISTENTIELLE...

Reprendre ou ne pas reprendre.... la plume ?

17 commentaires:

Kristin a dit…

en tout cas, celle-ci est si belle!

oeil de lynx a dit…

Question sibylline! Plusieurs entrées sont possibles.
La perle jaune est un bouton de fleur de Kirengeshoma palmata, rencontrée lors d'une visite de jardin.

LSD a dit…

Foin de commentaires naïfs !

La question posée ici est à l'évidence d'ordre existentiel. Feu Germinal se la posa naguère plusieurs fois, jusqu'au jour où... il (re)découvrit qu'il y a une vie après le blogue !

Guth a dit…

On peut préférer les pas feutrés à ceux des gros sabots...

Anonyme a dit…

Cher LSD,Germinal nous a joué un très sale tour,après nous avoir rendus dépendants il a été submergé par la demande constante de ses addicts(Plus de nouvelles de Barnabé,de petite Fleur mais j'ai aperçu Alec sur une terrasse il n'y a pas longtemps,plus de photos des bords de la Juine.Et voilà une nouvelle menace du coté Est.
L'approche écologique du Traine-Buisson dans son propre jardin et dans son environnement qu'il nous permet de découvrir est pourtant originale et utile.
Pourquoi les blogs loisirs créatifs sont-ils si dynamiques et ceux sur les jardins si pesants pour leurs auteurs?

verveine sauvage a dit…

Reprendre, reprendre.... sinon ça va manquer à l'horizon des jardiblogs... Allez, haut les coeurs et haute la ligne d'horizon...photographique et épistolaire...

berthille a dit…

Pourquoi se forcer ? Tout loisir doit rester un plaisir et non une contrainte ... même si je déplorerais très vivement l'absence de TB.

Paul a dit…

TB profiterait-il de la mue saisonnière des oiseaux pour entreprendre l'écriture d'un ouvrage? Mais TB est encore trop jeune pour écrire ses mémoires.

brezhidentedumorbihan a dit…

Oh non ! Trainebuisson ne va nous abandonner quand même ! Déjà que germinal...
Mais bien sûr faire vivre un blog au fil des jours ne doit pas être facile et au bout d'un an la flamme vacille....
Que Trainebuisson sache que je lis son blog tous les jours, même si je ne participe pas épistolièrement de façon régulière
Alors à bientôt j'espère...

La petite voix a dit…

Et les persicaires,comment vont-ils ?

hellohlala a dit…

C'est très simple, est-ce que c'est une passion, un besoin, ou non ?
Berthille a raison.
Le problème de ces blogs c'est l'usure. Il n'y a qu'à remonter à l'origine de celui-ci pour s'en rendre compte, on ne peut jouer au journaliste et faire des reportages sur la fabrication du Munster tous les jours.
Un blog régulier relatif aux jardins est voué à la répétition par définition.
Si c'est une passion et qu'on a des armes spécifiques (JdM + fond de vallée 600m alt. + nature sauvage pas loin + vraie connaissance du sujet + investissement écologique sincère + ...etc.) tout reste possible. On change la forme, on gardele fond, la Cuisine n'est pas différente et les grands chefs se renouvellent saisons après saisons. Même si eux aussi finissent par fatiguer en fin de carrière mais on n'en est pas loin.
Redéfinis ton concept, affine, en t'accrochant à tes fondamentaux. Arrête 1 mois et recommence.
Ou arrête.
Tout est possible.
La vie c'est large.
Bises.
g.

hellohlala a dit…

ah zut... lire "on n'en est pas là".
Douteux lapsus. Millexcuses.

LSM a dit…

Rustica paraît toutes les semaines depuis quatre-vingt ans et ne donne pas de sentiments de redite pour autant.

Quand t'as envie tu le fais, quand t'as pas envie tu le fais pas, pardine!

6 yusoune

Aphrodite a dit…

Alors, c'est comme l'amour?

hellohlala a dit…

Hey LSM on est d'accord sur l'envie. Mais je crois qu'en quatre-vingt ans de Rustica les journalistes ont changé (faut voir ?).
Même ton copain Thierry Denis relâche durant l'hiver.

Unknown a dit…

Merci à tous, je crois que nous voilà bien repartis ! Heureux de lire Epilobe, Paul et tous !

balalaïka a dit…

j'ai trop de fuseaux horaires de retard pour participer haut des bas, mais ça me fait plaisir d'entendre les grues ce soir avant de me glisser sous la couette...
Et j'aime bien lire les commentaires "to blog or not to blog" qui sortent comme les lapins du chapeau d'un magicien.